« Perdre ses parents est une épreuve cruelle, mais c’est dans l’ordre des choses. Lorsqu’ils vous renient, c’est bien plus que de la cruauté. Comment le respect des traditions peut-il supplanter l’amour filial ? Ma jeunesse a été un sanctuaire. L’obscurantisme n’est que haine, et la religion un prétexte pour l’absoudre. »
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu de roman de Marc Levy.
Cet été, Une fille comme elle m’a offert un très beau moment de divertissement.
L’auteur aborde avec brio la question de la différence, grâce à son héroïne en fauteur roulant. La comédie new-yorkaise est une étude des moeurs à la fois drôle et pétillante, elle égratigne avec humour quelques clichés et préjugés, pour le plus grand plaisir du lecteur.
Un roman touchant, facile à lire, sans surprise, mais très agréable.
Écoutez-donc :
Résumé :
New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres…
Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.
J’ai déjà un MUSSO dans ma pal… mais pourquoi pas lire celui-ci par la suite.^^
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Quel laspus ! Un LEVY !! On a souvent comparé ces auteurs, tous deux très populaires. Mais ils n’écrivent quand-même pas la même chose… :p
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Oui, tu as raison. Perso, je n’ai pas lu de Musso depuis très très longtemps. J’ai moins envie. Mais un Levy de temps en temps, ça fait du bien 🙂
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