J’ai toujours pensé que les livres étaient un remède merveilleux. À chaque douleur, à chaque tristesse, à chaque question il y a un roman. La seule difficulté consiste à le trouver. Le libraire prescrit, tel un apothicaire des sentiments, celui qui convient, et c’est là que se tisse cette relation si particulière avec les lecteurs.
Extrait de « Madame de X », de David von Grafenberg