Dans Et monter lentement dans un immense amour… , Katherine Pancol décrit un coup de foudre. Une illusion ? J’ai presque le sentiment à la fin de cette lecture de résumé la pensée de l’auteur par la phrase d’Aragon « Il n’y a pas d’amour heureux ». Le mystère du sentiment amoureux est mis à nu. Les mots abondent, un torrent audacieux qui ne s’arrête pas avant le dernier mot, le dernier point. La beauté du récit prime sur la crédibilité de l’histoire, mais « Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse (Musset) !
Résumé du livre
La quête du grand amour. Le véritable, l’unique, le seul, celui qui surprend et qui attrape au moment où on ne l’attend pas. Angelina est subitement confrontée à cette apparition de l’amant magnifique. Un jour, une porte, une main plaquée qui aide à l’ouvrir, un ascenseur, des yeux noirs perçants, un sourire chaleureux et la vie peut basculer, peut donner ‘envie de se jeter contre lui, mordre son corps, se perdre dans sa chaleur, le manger’. Mais cet homme si bon, si prêt à aimer, si évidemment aimant est-il l’homme réel ou bien cet homme éternel dont rêvent les femmes ?