« Depuis la nuit des temps, les êtres humains s’aiment d’amour, quelle que soit la différence. L’amour n’a pas d’âge. Il n’y a pas d’amour impossible. Tout amour vaut mieux que le manque d’amour. »
Une vraie surprise ce roman. Je n’avais jamais lu Philippe Labro. Franz et Clara dévoile une jolie écriture, un romantisme simple et moderne, avec un brun de suspens psychologique et des personnages d’une grande densité.
Captivant !
Mon seul regret … la dernière phrase, ou plutôt, le dernier mot.
Résumé :
Cette histoire commence sur un banc public, en face du lac de Lucerne, où a lieu la plus imprévisible des rencontres. Le coeur brisé par une déception amoureuse, Clara, 20 ans, concertiste dans l’opéra local, y vient s’isoler entre deux répétitions. Franz, un collégien en uniforme, âgé d’a peine douze ans, s’assoit un jour à son côté. Tout l’étonne chez ce garçon mi-homme mi-enfant, intelligent et spontané, qui semble surdoué de prescience et de sagesse. Intriguée, la jeune femme s’attache très vite à ces rendez-vous quotidiens qui l’apaisent. Jusqu’au jour où Franz, avec autant de flamme que d’autorité, lui déclare qu’il l’aime et qu’elle doit l’aimer. Elle lui fait comprendre que c’est impossible. Elle quitte Lucerne peu de temps après. Dis ans plus tard, Franz retrouve Clara à l’issue d’un concert à Boston. Tout commence peut-être ce soir-là.