« J’étais une fillette banale
Au visage sans finesse
En pleurs ou en colère
Mes yeux devenaient verts
Mais pour pouvoir retrouver
La douceur tendre et parfumée
D’une mère tant désirée
Bien souvent je les fermais »
De l’enfance, Esther Mello raconte le soleil, les fleurs, le miel, tant de beaux souvenirs jusqu’au jour où elle quitte l’orphelinat. Une nouvelle vie commence alors, avec un père violent, l’inceste, la peur …
Malgré la gravité du sujet, l’auteur distille les maux avec une sensibilité exceptionnelle en utilisant des mots simples, des pensées fortes, des refrains poétiques.
Un texte intimiste qui mérite le plus grand respect, paru chez Elan Sud.
C'est le genre de récit devant lequel j'ai de grandes appréhensions.
Je ne me suis toujours pas remise de « Push » de Sapphire.
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