Sans être une adepte de la BD, je ne pouvais passer à côté de celle-ci, sortie tout droit de l’imagination d’un grand maître du thriller : Jean-Christophe Grangé. L’écrivain développe, avec le graphisme de Philippe Adamov, un polar mâtiné de fantastique. Une vraie résussite.
La malédiction de Zener , T1 –Sybille
L’histoire se passe à Paris en 1968. Sybille Thiberge est étudiante en psychologie, mais sa véritable passion c’est François Bruner, un de ses professeurs. Pour le côtoyer, elle s’inscrit aux tests de parapsychologie qu’il organise. Et entre autres, les célèbres cartes de Zener qu’on présente cachées et dont il faut reconnaître les symboles . Plus les tests sont difficiles, plus Sybille ressent des troubles physiques, et des agressions mentales. Elle devient sujette à des hallucinations terrifiantes (vieillards hurlants, corps flottants dans des sarcophages et un immense anneau de pierre). Elle enquête sur » le protocole Zener « , et découvre qu’il est exclusivement subi par des animaux. Un des cobayes porte un tatouage en cyrillique. Nous sommes en pleine guerre froide : les rats viennent-ils d’URSS, font-ils partie d’un vaste plan d’espionnage ? Sybille découvre qu’elle a en fait des pouvoirs psychiques hors du commun, Bruner l’a convaincue de le suivre à l’Est pour qu’ils puissent créer un ‘nouvel homme’ basé sur ces recherches paranormales. Elle s’appellera désormais Irina Visotski.
La malédiction de Zener , T2 – Le clan des embaumeurs
Grâce à ses pouvoirs psychiques, Sybille peut sauver les vivants, mais que pourra-t-elle face qua morts ? Dans une URSS rongée par la peur et la paranoïa, Sybille devenue Irina doit passer un pacte diabolique : sa vie contre la préservation de la momie de Lénine. Une nouvelle épreuve qui la mènera tout droit au Concile de pierre.
La malédiction de Zener , T3 >Tokamak >>dans toutes les bonnes librairies depuis quelques jours !
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