Du fond de son cachot, une femme se souvient de la lente descente aux enfers. Au fil de son écriture, c’est la tragédie d’un amour malsain qui apparaît comme une effroyable vérité. Elle adresse sa longue confession à l’homme, son mari, le seul amour de sa vie. Elle n’est pas sûre qu’il lira sa lettre. Encore moins qu’il veuille tenter de comprendre. Et pourtant, sans se dérober, elle cherche en elle-même les origines de son crime. Elle remonte le temps pour trouver les prémisses de la folie, très loin, quand elle n’était qu’une petite fille – et déjà, un monstre en puissance.
Mazarine Pingeot écrit une fiction qui flirte avec une troublante réalité. Le rythme impose le personnage à qui l’on s’attache, on lui pardonnerait même le pire. Texte captivant et bouleversant, une réussite.
Elle n’a pas été chercher très loin son inspiration et je trouve dommage qu’elle ait cité le nom de la famille Courgeault pour faire sa promo à la radio (et sans doute à la télé mais je ne la regarde pas), du coup ça plus le cliché du titre j’ai l’impression qu’il s’agit d’un mauvais roman de people. Donc merci pour cet article, j’irais sans doute à la fnac feuilletez quelques pages et pourquoi pas me laisser tenter.
J’aimeJ’aime
+1 (quand j’y pense), je vous conseille (si vous ne le connaissez pas déjà) le blog de Maguelonne Heugel http://cequetulis.blogspot.com>>bon dimanche
J’aimeJ’aime
merci pour les compliments, votre blog est interessant aussi!>>je suis…
J’aimeJ’aime