De retour de Nouméa, mon amie Florence m’a offert un petit livre bleu comme l’océan … et ma bibliothèque !
Christine Cho offre au lecteur un conte magnifiquement illustré et où la mise en page semble être emportée par ce vent qui balaie les hommes.
Un conte initiatique absolument délicieux.
Résumé :
En ce temps- là, les hommes étaient peu nombreux sur la terre. Peu nombreux et légers. Très légers. Ils s’envolaient au moindre souffle d’air. Ils n’avaient pas d’ailes comme les oiseaux, non, ils marchaient sur la terre ferme et quand le vent se levait, il les emportait un peu plus loin.
Découvert aujourd'hui… un grand merci. Et à Florence aussi la passeuse de livres.
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