Malavita commence comme une comédie humaine avec des personnages profonds, attachants. Et au moment où l’on s’y attend le moins, un improbable concours de circonstances fait basculer l’histoire vers un règlement de compte mafieux, sanglant comme Pulp fiction.
Un roman difficilement classable, plein d’humour (noir), très divertissant jusqu’au moment où tout bascule … Dommage.
Résumé :
Une famille d’Américains s’installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous. Une famille apparemment comme les autres, en somme.
POur paraphraser Rostand… c'est un peu faible, jeune fille… Ce roman est un pur régal caractéristique des qualités de scénariste génial, de maitre du style, … bref, de l »écrivain de noir inimitable qu'est Benacquista…
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