« Après tout, l’amour a le don de nous mettre en transe, face à une myriade de possibilités aussi éblouissantes qu’imaginaires. Et il a aussi le pouvoir de nous stopper dans notre élan de la manière la plus violente qui soit, de nous projeter contre le pare-brise qui nous sépare de ce panorama d’espoir qu’on appelle l’avenir. »
Je n’avais pas lu de roman de Douglas Kennedy depuis pas mal de temps.
En refermant Isabelle, l’après-midi, j’ai éprouvé un regret mélancolique. Je ne désirais pas quitter Isabelle et Samuel. J’ai passé quelques heures avec eux, mais c’était 30 ans de leur vie. Leur rencontre, leur passion, les éloignements et déchirements, mais l’Amour, malgré tout !
Je n’ai pas reconnu l’auteur dans la description des moments intimes des personnages, mais, incontestablement, Douglas Kennedy possède un talent pour raconter les destins contrariés, les amours impossibles, la folie, la jalousie …
Une tragédie sensuelle et bouleversante !
➡️ A mettre en priorité dans vos lectures de l’été ☀️
Résumé :
Paris, début des années 1970. Dans une librairie de la rive gauche, un jeune homme rencontre une femme. Il est américain, étudiant, sans le sou, et a tout quitté pour assouvir ses fantasmes de la Ville Lumière ; elle est française, un peu plus âgée, sophistiquée, mystérieuse et… mariée. Entre Sam et Isabelle, c’est le coup de foudre.
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