Et j’ai dansé pieds nus dans ma tête

« Assise à une des tables en Formica rouge de Chez Jeannette, Charlotte a la gorge serrée. Le serveur lui apporte un mojito. Le cocktail lui brûle la trachée. Ses yeux piquent. Elle se demande ce qu’elle va faire. Quel chemin pour s’en sortir ? Dans le brouillard de ses pensées, une phrase s’impose à elle : «Même si tout te semble opaque, la lumière est toujours proche.» »

Il y a des romans qui puisent dans les bases du développement personnel pour raconter une histoire simple, mais qui pousse à l’introspection. Et j’ai dansé pieds nus dans ma tête en fait parti.

Olivia Zeitline propose un roman léger et profond à la fois. Les chapitres sont courts et donnent matière à réfléchir. En 200 pages, on comprend ce qui doit être essentiel dans la vie.

C’est une lecture qui s’adresse indéniablement aux personnes sensibles à la psychologie et/ou à la philosophie. Si ce n’est pas votre cas, vous trouverez peut-être le roman insignifiant.
Pour moi qui évolue entre le Hygge, l’Ikigai et la pleine conscience, je peux vous assurer que j’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce roman.

Chacun voit le monde à travers son propre prisme, et ce qui convient à l’un ne convient pas spécialement à l’autre. Plus on considère la vérité de chacun, plus on respecte la sienne.

Un livre qui fait du bien !

Résumé :
Après son burn-out et son changement de vie, Charlotte pensait en avoir fini avec les problèmes. Mais les élèves se font rares à son cours de danse. Les factures s’accumulent. Et les choses ne s’arrangent pas avec Tom. La lumière viendra d’une vieille amie violoncelliste : l’accord parfait ne s’atteint pas sans fausses notes. La solution ? Suivre son intuition. Lui parler. Écouter les signes du destin. Alors seulement, Charlotte sera capable de trouver sa voie, SA voix, cette petite musique sur laquelle danser la vie…

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