Premier appel du paradis

« Des miracles arrivent subrepticement tous les jours – en salle d’opération, sur une mer démontée, ou avec l’apparition subite d’un inconnu au bord de la route. Ils sont rarement pris en compte. Personne ne tient le score. Mais de temps en temps, un miracle est déclaré au monde. Et lorsque cela se produit, les choses changent. »

Ce roman de Mitch Albom est comme les précédents, un récit qui fait du bien, qui met du baume au coeur.
Imaginez donc : pouvoir parler avec ceux qui nous sont chers et qui ont disparu … L’auteur nous donne le folle espoir d’un au-delà qui pourrait être « connecté ». Miracle ou supercherie ? Qui sont ces 7 personnes qui reçoivent ces appels  ? Qu’en dit l’église ? Et quand la presse s’en mêle, comment éviter les débordements ?

Avec des mots simple, une intrigue bien menée, Mitch Albom signe une histoire douce, avec des personnages touchants. Il aborde la question de la vie après la mort sans donner de réponses, stipulant sa foi en l’homme plus qu’en la religion.
En parallèle, l’auteur multiplie les références à l’invention du téléphone, petites notes historiques qui mettent en lumière l’évolution des habitudes face à la technologie.

Un roman « feelgood » qui se dévore de la première à la dernière ligne.

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Résumé :
Cela s’est passé dans le petit village de Coldwater, au bord du lac Michigan, mais cela aurait pu arriver n’importe où ailleurs. Des appels téléphoniques en provenance de personnes décédées. Le plus souvent, des mots de réconfort pour les proches, un mari, un parent, un enfant. Une ligne directe avec le ciel ? Un miracle pour les croyants, une supercherie pour les autres. Sully Harding, qui vient de perdre sa femme, n’y croit pas. Il est bien décidé à démasquer l’imposteur. Mais tout le monde n’est pas prêt à raccrocher…