Lorsque Karine Carville m’a parlé de son idée de roman il y a quelques années, mon enthousiasme a été immédiat. Je voulais absolument lire ce roman, mais pas avant qu’elle ait posé le point final, car pour ceux qui ne le savent pas, notre écriveronne adore appeler sa Dream Team le soir pour avoir un assentiment ou juste un réconfort sur un paragraphe, un chapitre, tout juste sorti de son imagination. J’ai donc eu l’honneur de découvrir le roman dès le mois de décembre dernier, et je reste stupéfaite de la plume de mon amie.
Dès le départ, Le journal de L. semble être celui d’une Bridget Jones folle-dingue, accro à son journal. Au fil du récit, les personnages se mettent en place et l’auteur sème des indices qui vont doucement nous mener vers l’intrigue. Et quelle intrigue ! Karine Carville nous surprend et torture le lecteur en le précipitant au coeur d’une situation machiavélique.
Avec force, humour et psychologie, ce journal se révèle être un thriller passionnant, de ceux que l’on qualifie de « page-turner ». D’ailleurs, ce n’est pas moi qui le dit, c’est Pierre Gaulon, qui en signe la préface.
Pas d’hésitations, vous allez adorer !
Résumé :
Léanne ne se sépare jamais de son compagnon de papier et y inscrit les moindres détails de sa vie pourtant si routinière. Pourquoi cette brillante architecte éprouve-t-elle le besoin de se confier ainsi dans son carnet ? Addiction ? Thérapie ? Que pourrait révéler ce journal s’il tombait entre de mauvaises mains ? Alors que Léanne accumule conflits et contrariétés, l’arrivée d’un homme dans sa vie pourrait faire ressurgir un terrible passé. Certains secrets pourraient se lire entre les lignes…