Le film de mon très George n’ayant pas remporté le succès attendu en salles (The Good German – sorti en février au cinéma, ce mois ci aout en DVD), j’étais cependant curieuse de découvrir le livre qui avait inspiré Steven Soderbergh.
Berlin, Juillet/août 1945. Un journaliste américain accepte une mission pour retrouver l’amour de sa vie. Ce reportage va se transformer en enquête policière. Amour, trahison, occupation, collaboration : tous les ingrédients sont réunis pour formé un roman captivant, émouvant, passionnant.
A LIRE
En résumé
Berlin, 1945. Ancien correspondant de la CBS, Jake Geismar peine à reconnaître les lieux où il a vécu autrefois : la capitale déchue n’est plus qu’un champ de ruines où errent des colonnes de réfugiés au regard vide. Venu officiellement pour couvrir la conférence de Potsdam, Jake espère en fait revoir Lena, sa maîtresse allemande qu’il a passionnément aimée. Mais comment la retrouver dans ce décor lunaire où les habitants disparaissent sans laisser de traces ? Où, pour sauver sa peau, on échange faux témoignages et informations hautement confidentielles ? Dans un climat de tension politique extrême, Jake va découvrir peu à peu toutes les ambiguïtés du dispositif allié : l’âme humaine est capable du pire quand il est question de préparer une nouvelle forme de guerre…
le livre est beaucoup mieux que le film
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