Pour cette cinquième aventure des Lutins Urbains, Renaud Marhic nous emmène en Bretagne.
Dans les pas de Gustave Flicman, le lecteur se retrouve plongé dans la culture folklorique bretonne.
Un changement de décor bien agréable qui profite au mystère du roman mais n’enlève en rien à l’humour et la répartie singulière de l’auteur.
Je suis toujours fan de ces « Psiiiiit ! » qui jalonnent le récit et prennent le lecteur à partie 🙂
A tous les ingrédients de ce tome s’ajoute un lexique très pratique pour lutinologue averti.
Lecteurs sérieux s’abstenir !
Résumé :
On les croyait disparus à jamais, chassés de nos contrées par la modernité. Erreur ! On peut bien avoir construit des villes à la campagne, les lutins se sont faits urbains ! Et ils n’ont rien perdu de leurs pouvoirs d’agaceries, tracasseries, et espiègleries… Les Lutins Urbains débarquent en Bretagne ! Chassés de la Grosse Cité par la sinistre Brigade de Répression de l’Onirisme, nos amis viennent demander l’aide des Korrigans, leurs cousins bretons. Grace au Professeur Le Brac (lutinologue à Carnac), la bande à bonnet découvre bientôt l’existence d’un talisman capable de mettre en échec ses adversaires. Son nom : la « Grosse Galette »… Pourchassés de toute part, lutins urbains et bretons se mettent en quête de l’objet magique. Au coeur de la Bretagne mystérieuse, leur route ne tarde pas à croiser celle d’un jeune policier en vacances : Gustave Flicman… qui n’est pas près d’oublier son séjour au pays des Korrigans !