AntidépresSoeurs

« Entre métro, boulot, dodo et hélas « électro-vaginogramme » plat, Charlotte courait après tout. Le temps, son job, ses enfants, enfin pas après son mari, parce que lui s’était fait la malle. Préparez vos mouchoirs… ou pas, en fait, c’est assez banal. »

Si vous vous dites que l’automne est une saison déprimante et que aimeriez bien vous divertir avec une lecture pétillante, alors plongez-vous dans le roman de Charlotte Léman !
Avec AntidépresSœurs, pas besoin de médicament. Les deux héroïnes nous offre une thérapie drastique : tranches de rire et coupes de champagne !

Valentine et Charlotte approchent de la quarantaine et pour elles pas question de s’embourber dans une parodie de vie où l’on ne s’éclate pas dans son travail ou dans son couple. Même si parfois c’est plus facile à dire qu’à faire …

C’est Sex & the City version parisienne. Une écriture vive, drôle, pertinente. On en redemande !

Mesdames, à offrir à toutes vos amies quadra 😉

Résumé :
Il était une fois deux amies… Charlotte, pétillante communicante chez Love Empire, la start-up de l’amour, est larguée sans préavis par son gentil mari pour une jeune & jolie collègue. Très mauvais timing avec les rides qui s’installent et cette maudite quarantaine qui approche. Il aurait pas pu plus mal choisir son moment, celui-là ! Bien décidée à renoncer aux hommes, Charlotte se réfugie dans le célibat… et les sextoys. Enfin ça, c’était avant l’arrivée de son nouveau boss.
Valentine, rédactrice au magazine ExceptionnElles, s’essouffle entre ses obligations professionnelles et son rôle de mère de famille. Comme toutes les héroïnes, Valentine a un super pouvoir. Elle a développé au cours des dernières années la faculté de devenir totalement transparente mais, bizarrement, ce pouvoir n’opère que sur son conjoint. Heureusement, son amour de jeunesse va ressurgir du passé (bon ok, on est allé un peu le rechercher) pour réveiller la Belle aux abois endormie.
Mais, au XXIe siècle, hors de question d’être larguée par le prince et de finir seule la soupe à la citrouille ! Et si quarante ans était l’âge de la déraison ?

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