Ce court roman (ou peut-être est-ce simplement une nouvelle ?) n’est ni plus ni moins qu’une satire sociale élégamment racontée par un auteur qui semble aimer les jolis mots.
En moins d’une heure, format que les éditeurs numérique affectionnent, on plonge dans une addiction canine qui semble ne pas avoir de terme. Le rythme est bon, l’histoire intéressante, mais l’introduction me laisse perplexe. Soit ! ça ne commençait peut-être pas très bien, mais c’est oublié dès le chapitre 2.
Original et efficace !