Premier « classique » que je redécouvre grâce à mon Sony Reader.
La nouvelle d’Alexandre Pouchkine est structurée comme un conte et met en scène des personnages aux traits empruntés au théâtre populaire de l’époque.
Pouchkine a la plume poétique, la nouvelle est subtile, dramatique et merveilleuse.
Résumé :
Au cours d’une soirée de jeu, deux jeunes hommes de la bonne société russe du XIXe siècle parlent entre eux du pouvoir que détiendrait la comtesse Anna Fédotovna, grand-mère d’un des interlocuteurs, Tomski. Cette femme saurait une combinaison de trois cartes qui gagnerait à tout les coups
Fasciné par les perspectives de richesse que pourrait lui amener ce pouvoir, Hermann, jeune officier du génie, use de tous ses charmes pour courtiser Lisaveta Ivanovna, jeune demoiselle de compagnie auprès de la comtesse, afin de pouvoir s’approcher de cette comtesse et lui soustraire son secret.
Je suis fan des auteurs classiques depuis toujours. Pour moi, ce sont les meilleurs, ceux dont on a tout apprendre lorsqu'on écrit ; au moins, eux savaient-ils raconter de vraies histoires, des histoires sensibles et vivantes, dont il reste toujours quelque chose au lecteur en refermant le livre… Ce qui n'est pas toujours le cas aujourd'hui…
J'ai tout de suite adoré les écrivains russes : Tolstoï, Dostoïevski, Pasternak, Gogol, Gorki, et bien sûr Pouchkine, dont j'ai particulièrement aimé « La fille du capitaine ».
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Pardon ! J'ai voulu dire « tout à apprendre »…
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