J’avais entendu d’excellentes critiques de cet écrivain islandais et je dois bien dire que je ne suis nullement déçue. Inutile de dire comme d’autres que Henning Mankell n’a qu’à bien se tenir, c’est certain, Arnaldur Indridason possède un style direct et concis qui lui permet d’écrire un polar d’une belle complexité en gardant le lecteur en haleine. Alors oui, je vais certainement retrouver dans mes prochaines lectures l’inspecteur Erlendur, tout comme Kurt Wallander est devenu une relation très sérieuse au fil des années.
Très très bien.
Résumé
Un nouveau cadavre est retrouvé à Reykjavik. L’inspecteur Erlendur est de mauvaise humeur : encore un de ces meurtres typiquement islandais, un «truc bête et méchant» qui fait perdre son temps à la police… Des photos pornographiques retrouvées chez la victime révèlent une affaire vieille de quarante ans. Et le conduisent tout droit à la «cité des Jarres», une abominable collection de bocaux renfermant des organes…