J’avais 14 ans lorsque j’ai lu Une saison blanche et sèche d’André Brink. Ce roman a bouleversé mon adolescence, je prenais alors conscience du racisme et de l’apartheid.
Sensible à la couleur bleue, le titre de son dernier roman a attiré mon attention. C’est un court récit entre rêve et réalité que propose l’auteur, avec une touche d’absurde et une pincée de fantastique. André Brink place le lecteur au centre de ce monde irréel où sa subtile écriture explore les sentiments contradictoires de son personnage. Amour, désir, regrets, souvenirs, font de La Porte bleue un roman où tout est possible.
A découvrir sans attendre !
Résumé :
Un peintre est un soir accueilli dans son atelier par une créature de rêve et deux charmants enfants métis qui l’appellent papa. Marié depuis toujours à une Blanche, il constate pourtant très vite que cette femme noire le connaît parfaitement et qu’elle le considère de tout évidence comme son époux. Halluciné, terrorisé mais aussi fasciné, David pense avoir perdu la tête, ou la mémoire, ou les deux à la fois, et le voilà parti dans une spirale infiniment troublante.