« C’est toujours l’attente. Une chape de plomb étouffe la bourgade. On ne parle plus que de ça. Les bavardages vont bon train dans les commerces ce mercredi matin. Dans les cafés, c’est aussi la stupéfaction. Les informations ont plus ou moins bien circulé, mais une chose est sûre, une gamine est peut-être morte et un monstre court dans la nature. »
Du bleu dans la nuit n’est pas un polar comme les autres. En effet, nous ne sommes pas dans la fiction. Mais le livre se dévore comme si s’en était une.
Jean-Charles Chapuzet revient sur une affaire de l’année 2004 : la disparition d’une fillette de 9 ans, en Charentes. L’auteur nous fait vivre l’enquête « de l’intérieur ».
Grâce à un rythme soutenu, on sent monté l’angoisse au fil des pages. Avec juste ce qu’il faut de colère et d’espoir. Une fine analyse psychologique des personnages permet d’appréhender les hommes et leurs actions.
Un récit atypique, fort, percutant !
Résumé :
C’est l’effroi à Jarnac lorsque la petite Mona Lisa est kidnappée un soir de février 2004. Tous les hommes de la gendarmerie locale se mobilisent, et même au-delà, la section de recherches de Bordeaux. Ils ne le savent pas encore, mais ce fait divers va devenir l’affaire la plus importante de leur carrière.
Quatorze ans plus tard, le Patron, directeur d’enquête de l’affaire, et plusieurs gendarmes se souviennent : le dispositif mis en place, la coopération entre la brigade locale et la gendarmerie de Bordeaux, la garde à vue d’un suspect – interminable jusqu’à l’ultime rebondissement –, les retentissements médiatiques et politiques de l’affaire
Bonjour, je m’excuse d’avance car ce commentaire n’a rien avoir ni avec cet article. Mais je viens de voir que vous étiez abonnée à mon blog alors je voulais vous en remercier ainsi que vous souhaiter la bienvenue parmi mes abonnés ! En espérant que mes articles vous plairont et que nous aurons l’occasion d’échanger autour de la lecture, je vous souhaite une belle fin de semaine et vous dis à bientôt.
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