L’homme qui ouvrait les pots de confiture
« Mais, avec une fortune à douze chiffres basée sur la société de consommation et l’économie de marché, ma vie était bien éloignée d’un quelconque militantisme. Mes envies étaient inexistantes, mes besoins restaient par conséquent simples et faciles à assouvir. Boire quand j’avais soif, manger quand j’avais faim et réussir à m’endormir étaient les grands actes essentiels de mon quotidien. J’avais atteint le comble du luxe : se contenter de rien lorsque l’on peut avoir tout. »
Attirée par le titre et la couverture bleue de ce roman, c’est avec un plaisir non feint que j’ai découvert L’homme qui ouvrait les pots de confiture.
Max est le fils de Joseph, mais l’homme est plus doué en gestion d’entreprise qu’en relations familiales. Au décès de celui qui l’a élevé, les souvenirs de l’enfance refont surface …
Cédric Totée propose un voyage dans le temps à bord d’une authentique 504. L’autoradio joue un concert d’Henri Dès, il y a un parfum de barbe à papa dans l’air … Vous voyez le tableau ?
L’auteur possède une écriture vive, concise et pleine d’humour. Les chapitres sont courts et donnent un dynamisme certain au récit. On dévore le roman d’une traite, sans s’en apercevoir. Un délice !
Résumé:
Max, riche adulescent désabusé, mène une vie dissolue jusqu’au jour où l’appel d’un notaire le replonge dans son enfance.
De retour dans la maison qui a accueilli les vacances de sa jeunesse, une révolution intérieure commence alors pour cet héritier confronté à une intimité filiale qu’il n’a jamais pu avoir avec son père.
2 commentaires sur “L’homme qui ouvrait les pots de confiture”
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Une fois encore ta suggestion est très tentante !! Bisous mon Amie
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Nice blog posst
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