Encore une fois, Grangé ne déçoit pas ! Cet auteur découvert à la fin des années 90 sait encore une fois user de son écriture riche et bien documentée pour amener le lecteur vers de nouveaux sommets du crime.
L’intrigue nous amène cette fois-ci en Amérique latine – ça donne envie de voyager – et même si l’on ne s’ennuie jamais, le roman prend une plus grande partie dans ce titre que le suspens auquel nous avait habitué l’auteur. Tant et si bien qu’il manque certainement une dizaine de pages pour boucler l’histoire. Mais peut-importe ! La forêt des Mânes n’est pas le meilleur de Grangé, ma préférence reste certainement au Vol des cigognes (ou peut-être La ligne noire), mais il vous garantit un bon moment de lecture !
Résumé :
A Paris, Jeanne Korowa, brillante juge d’instruction à la vie affective désastreuse enquête avec François Taine sur une série de meurtres particulièremhttp://www.blogger.com/img/blank.gifent sauvages : déhttp://www.blogger.com/img/blank.gifmembrements, cannibalisme, et mises en scène macabres. Trois plantureuses Vénus atrocement dévorées, trois tableaux sanglants entre rituel et folie. Abusant de son autorité, Jeanne fait installer des micros dans le cabinet d’Antoine Féraud, le psychanalyste qui reçoit chaque semaine son ex petit ami, et tombe par hasard sur une séance étrange où un père révèle les pulsions sanguinaires de son fils autiste et son passage à l’acte. Autisme, fécondité, préhistoire : trois pistes qui mèneront Jeanne, au Nicaragua, au Guatemala, puis dans les marais argentins. Au terme de sa quête, dans la forêt des Mânes, elle découvrira une vérité qu’on aurait préféré ne jamais connaître.
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