C’est avec L’homme aux cercles bleus que le lecteur fait connaissance avec le fameux Adamsberg et son inspecteur, Adrien Danglard.
Si bien que le roman met en second plan l’enquête, assez traditionnelle, avec un suspens assez mince. Et même si l’auteur essaie de brouiller les pistes, le dénouement manque légèrement d’originalité.
A lire pour apprendre à connaître Adamsberg, mais résolument pas le meilleur de Fred Vargas.
Résumé :
Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon… Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent : un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de mauvais augure. Il le sait, il le sent : bientôt, de l’anodin saugrenu on passera au tragique. Il n’a pas tort. Un matin, c’est le cadavre d’une femme égorgée que l’on trouve au milieu d’un de ces cercles bleus.
Je suis d'accord avec toi… ce roman est assez moyen… mais globalement les Vargas avec Adamsberg comme personnage principal ne sont pas (et de très loin) les meilleurs…
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