Après les crocodiles et les tortues, c’est un plaisir de retrouver Joséphine, Shirley, Philippe, Hortense et Gary, Zoé et Gaétan, Marcel et Josiane, Henriette et Junior. Les héros de Katherine Pancol nous entraînent à nouveau dans les tourbillons de leur vie, au fil du temps et des rencontres. Une saga attachante où il ne manque aucun ingrédient : amours, suspens, projets, manigances, séparations, retrouvailles, rires et larmes.
« J’écoute quand vous parlez, mais j’entends surtout ce que vous ne dites pas … et ce que vous ne dites pas est plus important que les mots que vous prononcez … »
A noter que le pavé fait tout de même 850 pages (c’est du lourd ! sauf si comme moi vous lisez en numérique) et il faut bien avouer que dans ce troisième opus, l’auteur aurait pu nous faire une économie de 200 pages sans que cela nuise au récit. Souhaitons que l’éditeur ne pousse pas l’écrivain à la quantité au détriment de la qualité.
Résumé :
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi …