« J’ai traversé la nuit et survécu à ses chimères. La promesse de lumière m’apporte un réconfort inespéré, l’émotion reflue avec l’obscurité, la complexité fait place à une sérénité apaisante. »
Le roman de Victor Rizman est difficilement comparable à une autre œuvre de fiction. Et la fiction est si bien comptée qu’on la croirait empruntée à un triste fait divers … L’auteur offre à son lecteur trois personnages solidement étoffés, trois destins qui vont se croiser autour d’une intrigue qui vous porte jusqu’à la dernière page. Où est le vrai ? Où est le faux ? Qui joue ? Les sentiments réels ou illusoires ? … pervertis par le temps et l’histoire. Machination ? Manipulation ? Quand le virtuel aspire les trois hommes au centre d’une série de meurtres, on ne peut que se satisfaire de n’être que spectateur de ce thriller.
Attention, vous allez dévorer !
Résumé :
Il suffira d’un sac poubelle au clair de lune pour révéler les 40 ans vides de sens d’un publicitaire père de famille. Décidé à changer de vie et à dépasser le point de non-retour, le coup de feu ponctuant son anniversaire lui ouvre la voie.
Construit à la manière d’un film, le roman cache derrière le suspense une exploration cynique des états d’âme actuels du «quadra-boomer» occidental.
Une intrigue policière qui transgresse les règles du genre en redonnant tout son sens à la manipulation.