« L’innocence de sa femme est ce pilier qui le tient en équilibre. Elle lui confère la virginité affective dont il a besoin pour ne pas être contaminé par le milieu et les noirceurs de l’âme humaine dont il a fait son métier. Elle est une madone, une femme idéale qui ne doit rien connaître de son autre vie, celle qui se déroule loin de leur petite maison de Prairie Avenue. »
Ce nouveau livre de Diane Ducret nous plonge dans le milieu de la pègre, en pleine prohibition. Elle évoque les plus grands gangsters des années folles, Al Capone bien sûr, mais aussi Clyde Barrow et Bugsy Siegel. Cependant, c’est aux femmes qu’est dédié cet écrit. Les femmes de ces malfrats, criminels, qui étaient elles aussi, parfois, des rebelles, des meurtrières, des impératrices du vice.
Diane Ducret révèle des histoires complètement inconnues du grand public et brosse le portrait de celles qui étaient de l’autre côté … Femmes sensibles ou femmes de poigne, l’auteur reconstitue l’âge d’or du crime grâce aux archives des journaux et aux dossiers déclassifiés de la prison d’Alcatraz et du FBI. Le livre contient des entretiens et des photos issus des familles des descendants de Mae, Bonnie, Margaret, Virginia …
Une intimité dévoilée au fil des pages et qui fascine. Des destins incroyables, qu’ils soient romantiques ou tragiques.
Mention spéciale pour la très belle couverture, l’éditeur a aussi parfaitement soigné la mise en page.
Un récit passionnant qui se lit comme un roman.
Résumé :
Elles sont meurtrières, frondeuses, séductrices, esprits rebelles et libres, elles ont choisi d’être des Lady Scarface, à la vie à la mort… De la naissance des bordels de Chicago à celle d’Hollywood, Diane Ducret nous plonge dans l’intimité des « fiancées de la poudre », les femmes du clan d’Al Capone et autres gangsters qui ont fait trembler le monde
Ca me tente bien!
J’aimeJ’aime