Une autre qu’ils disaient

« Demain est autre jour, demain est le jour, le premier, le dernier. Demain ce n’est encore rien et c’est peut-être déjà tout. L’impossible qui devient possible, l’improbable qui arrive, le début d’une rencontre ou la fin d’une autre. Une histoire peut se faire et se défaire en quelques secondes. D’ailleurs quelle est la durée d’une histoire pour qu’elle puisse être qualifiée de telle ? »

Dans ce recueil de nouvelles, Eric Neirynck reste fidèle à son style : court, direct, percutant.

Puisque tout n’avait pas été dit précédemment, l’auteur complète avec 7 nouvelles ce qu’il n’avait pas mis dans « Facebook mon amour« .

Émotions, humour, avec le vocabulaire qui lui ressemble, ce grand monsieur nous livre des petites réflexions, insidieuses et pertinentes.

Une nouvelle parution qui confirme les capacités naturelles du Belge pour l’écriture.

Résumé :
Céline fait plus qu’inspirer l’auteur. L’autodestruction est au centre de ces nouvelles. Cette autodestruction que nous pratiquons souvent sans vouloir l’admettre. Parfois il est presque temps de réagir…presque..