« Pour l’instituteur, il me faut un crime parfait.
Comme dans Le Mystère de la chambre jaune.
Je vais le relire avant de le tuer.
(Pas le mystère, l’instituteur.)
Le livre est dans la bibliothèque de la classe. »
Avec humour et tendresse, Daniel Picouly nous propose de partager sa madeleine de Proust.
Un texte simple et efficace qui dévoile l’importance de la famille, de la fratrie dans le processus d’écriture.
Un écrit court, qui donne tout en moins d’une heure, format « théâtre » : léger mais concentré !
A découvrir.
Résumé :
Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l’apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l’enfant qu’il fut et l’adulte qu’il est. Il narre des souvenirs, d’abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d’un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l’adulte qui, au fond, est resté le même.
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