De la rentrée littéraire, j’ai eu un énorme coup de cœur pour Quatre jours sans ma mère, de Ramsès Kefi. La rencontre qui a suivi ma lecture, à la librairie Le Grenier d’Abondance, a été un moment fort. J’ai eu plus de mal avec Perpétuité, de Guillaume Poix, malgré un sujet passionnant. La collision, de Paul Gasnier, a retenu mon attention, mais l’approche narrative ne m’a pas bouleversé. Quant au Bel obscur, de Caroline Lamarche, c’est un étrange récit qui m’a quelque peu dérouté.
J’ai profité de quelques jours de vacances au Bénin pour découvrir La peur de l’eau, un album-documentaire de Dominique Mwankumi.
Je me suis laissée emportée par le dernier Dan Brown, Le secret des secrets, récit haletant et captivant. J’ai succombé au charme de La femme du serial killer, d’Alice Hunter. Et j’ai été fortement émue par le tout nouveau Julien Sandrel, Le jour où Rose a disparu. Enfin, le roman noir de Gabrielle Massat, Gracier la bête, m’a tenu en haleine jusqu’au bout de la nuit.