« Car derrière le Paris grandiose le plus touristique, celui des Invalides, de la Sainte Chapelle, de l’Arc de Triomphe, de Notre-Dame, de la Tour Eiffel, du Louvre, de la Madeleine, du Panthéon, de la Chambre des Députés, de l’île de la Cité ou de l’Île Saint-Louis, se profilent une multitude de pépites architecturales qui appartiennent à la petite histoire la plus tamisée où résonnent les pas de la grande histoire, celle d’un Paris qui proteste, qui conteste, qui renverse les gouvernements, qui innove en permanence dans les secteurs les plus éclatés. »
J’adore me promener dans Paris ! Lorsque j’ai découvert ce titre des Éditions UPPR, je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté …
Michel Dansel propose au lecteur une balade d’arrondissement en arrondissement. Il y décrit les particularités de chacun et pose un regard poétique et historique sur la capitale. En quarante pages, l’auteur propose son éclairage de la ville lumière, avec la passion qui l’anime et qu’il communique au lecteur. Même si vous connaissez par coeur Paris, vous serez surpris d’en apprendre toujours plus.
A lire en métro, en péniche, sur un banc, à Paris et nulle par ailleurs !
Résumé :
Pour Michel Dansel, « se promener dans Paris, y gambader, même sans objectif précis, représente une véritable thérapie que chacun peut s’auto-prescrire s’il est gagné par la morosité, le spleen, la nostalgie, la curiosité et l’espérance ». Parcourir la « ville lumière » en 40 pages, voilà un véritable défi que l’écrivain relève en nous invitant à marcher avec lui dans la célèbre capitale, nous faisant découvrir chaque arrondissement avec poésie, légèreté, profondeur – et une érudition à couper le souffle. « Dans le cadre de ces pages, nous dit-il, j’endosserai tout simplement le rôle d’incitateur, de « couvreur », pour user d’un terme que l’on ne méconnaît pas dans certains milieux ! De celui qui entrouvre la porte pour vous permettre, en fonction de vos choix, de votre sensibilité, de vos pôles de curiosité, d’aller gambader dans vos sphères privilégiées. Le parti-pris de ces pages est une simple invitation à la promenade, un survol des arrondissements de Paris qui, depuis 1860, sont au nombre de vingt ».